Parce que nous avons toutes et tous dans notre entourage
de loin ou de près quelqu’un qui perd la mémoire,
parce que mon père ne me reconnaît plus,
parce que ça m’insuporte quand on traite les personnes Alzheimer de folles,
parce que j’aime marier les mots en toutes circonstances, j’ai écrit ce livre.
Ce n’est pas l’histoire de mon père, mais celle d’une saltimbanque,
la vie de Colette, une chanteuse, dont la perte progressive de repères
est racontée par ses animaux de compagnie…
Un clin d’œil aussi à Colette et à son « Dialogues de bêtes »
Merci à mes éditrices de m’avoir une fois encore suivie
dans cette fiction, comme pour « Pas touche à Charly »
et « Un piano pour Pavel » où les jours moins
finissent toujours par devenir plus…
(« Coco n’est pas zinzin » paraît aujourd’hui,
(« Coco n’est pas zinzin » paraît aujourd’hui,
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